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Si le bénévolat n'est pas payé, ce n'est pas parce qu'il ne vaut rien
mais parce qu'il n'a pas de prix"
Et pourtant ... toutes les associations qu'elles soient sportives, culturelles ou sociales font le même constat, "nous avons de moins en moins de bénévoles engagés", tant pour accompagner, régulièrement, les enfants au football , pour participer , régulièrement, aux répétitions de la chorale, pour assurer, régulièrement l'accueil et les permanences ...
Le premier constat c'est que ce sont régulièrement les mêmes "qui sont sur le pont" pour pallier les absences et que ces mêmes vont finir, à leur tour, par se lasser.
Quelle est la solution ? Est-elle quantitative ou qualitative ?
Assurément qualitative pour commencer : quelle est la Mission de l'association pour laquelle je suis bénévole ?
Ai-je bien compris le sens de cette Mission ?
Est-elle au bon niveau de ma réflexion ?
Me suis-je engagé pour conduire des enfants au football ou pour leur permettre de s'épanouir dans le sport qui plus est, collectif ?
Me suis-je engagé dans la chorale par goût du chant ou pour contribuer à une œuvre musicale dont je sais être un acteur à part entière ?
Me suis-je vraiment rendu disponible à un agenda imposé pour que ma présence, mon accueil, mon écoute, mes conseils participent à un retour à une vie plus normale pour ceux que je rencontre ?
C'est le sens qui porte mon bénévolat qui va déterminer mon niveau d'engagement, de présence, de disponibilité.
Si la cause est plus grande que les contraintes qu'elle m'impose alors je serai épargné par "la crise du bénévolat" mais si la cause disparaît derrière les multiples contraintes qui se présentent devant moi tous les jours et qui me cachent la vraie Mission, alors je participe, sans vraiment m'en rendre compte, à la crise de bénévolat !
Réfléchissez d'abord et rejoignez-nous ensuite,
"Vous recevrez toujours plus que vous ne donnerez".